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Dans cette seconde partie, je vous soumets comme convenu dans la première partie, mon étude subjective et comparative entre une montre-bracelet et une perle. Alors, premièrement, j'ai associé l'exactitude de l'une avec l'orient de l'autre car l'appréciation de la valeur de l'une comme de l'autre dépend de la clarté conforme et précise des grandeurs qu'elles renseignent ou rappellent tels le temps ou l'ensoleillement. Puis, deuxièmement, j'ai lié la fiabilité de l'une avec la régularité couplée à la forme de l'autre car l'hypothèse plausible en matière de bon fonctionnement et d'uniformité se formule en vérité selon des calculs ou des évaluations de probabilité optimale dans les conditions spécifiques au rendement souhaité. Troisièmement, le lien implicite entre l'étanchéité de l'une et l'éclat de l'autre, parce que la protection de la montre-bracelet contre des facteurs externes tels que les poussières, l'humidité et l'eau, participe à l'éclat de son verre ; éclat qui se vérifie également avec la perle par l'intensité de la lumière potentiellement réfléchie. Ensuite, quatrièmement, quel rapport entre la résistance de l'une et le poids de l'autre? Et bien, vous admettrez certainement que logiquement et par définition, la résistance d'un matériau est une propriété qui lui permet de défier les effets d'un autre matériau exerçant sur lui une pression due à son poids par exemple. Enfin, cinquièmement, j'ai relié le verre inrayable de l'une avec la couleur de l'autre. Là encore, la même question : pourquoi? Ici, je propose un raisonnement assez facile et rapide : des rayures sur une montre ou sur une perle s'observeront au niveau du verre de la première si ce dernier n'est pas inrayable et au niveau de la couleur altérée de la seconde. Alors votre verdict?

Fabienne F.


Dernière modification le mercredi 02 Décembre 2015 à 22:01:50

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